La S.O.D.
– Proverbe Traditionnel –
– Nouveau Proverbe –
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“Le Feu purifie tout ou détruit tout.”
(Ce qui revient au même.)
Prologue métaphysique
Là où il y a de la “Vie” il y a du Mouvement, comme conséquence naturelle de la Vie. Là ou où il y a du Mouvement il y a de la Chaleur comme conséquence du Mouvement. Un Mouvement intense provoque une Chaleur intense. Le Mouvement le plus intense qui soit se trouve dans le Feu de la Vie.
Le Feu Originel – ou Primordial – se suffit à lui-même; il brûle par lui-même et n’a besoin ni de comburant ni de carburant. Il ne produit pas, non plus, de déchets, quels qu’ils soient. Mais un tel Feu n’est pas de ce Monde.
Depuis que, selon le célèbre Mythe grec, Prométhée a volé le Feu aux Dieux – ce qui nous montre bien qu’à l’origine le Feu ne se trouve pas sur Terre et qu’il provient d’un Monde supérieur – et que, par conséquent, il se trouve, depuis lors, aussi présent sur la Terre, là, dans la matière, il en va, en effet, différemment.
Là aussi, le Vivant naît du Feu de la Vie, mais, là, s’applique le proverbe bien connu “Pas de fumée sans feu!” et surtout, inversement, celui que – s’il n’existe pas déjà – nous n’hésitons pas à créer ici: “Pas de feu sans fumée!” (ce qui n’est pas forcément vrai en dehors de la matière).
Pour qu’il y ait du Feu il faut en effet, qu’il y ait combustion; pour qu’il y ait combustion il faut qu’il y ait un comburant, l’Oxygène et un quelconque carburant, par exemple du carbone.
Le problème est que la combustion de la plupart des corps matériels – si ce n’est tous – génère des sous-produits indésirables pouvant même se révéler toxiques.
Exemple: Le feu de bois, bien connu de tous, en dehors de la chaleur et de la lumière pour l’obtention desquelles on le brûle, génère aussi des sous-produits visibles, comme la cendre, (utilisable comme poudre à laver!) la suie, le goudron et la fumée, et des invisibles, comme le gaz carbonique (CO2) et même, en cas de mauvaise combustion, l’oxyde de carbone (CO), très toxique à respirer, tellement même. qu’il peut rapidement entraîner l’asphyxie et la mort…
Dans les corps humains ou animaux aussi, se produit une forme de combustion. En effet, partout où il y a oxydation il y a combustion…
Qu’est-ce que l’Oxydation?
L’oxydation est une opération chimique par laquelle se produit un transfert d’électrons depuis les atomes du corps oxydant – par exemple l’oxygène – en direction du corps oxydé – par exemple, le carbone. Le corps oxydant est donc l’oxydeur, tandis que l’oxydé est dit réducteur.
Et la SOD, là-dedans?
Les “SODs” – puisque qu’il y en a plusieurs sortes – semblent avoir été mis au point par les corps humains ou animaux et même végétaux pour pouvoir lutter contre les déchets toxiques créés lors de la combustion des molécules oxydées par l’oxygène.
Qu’est-ce que la SuperOxyde Dismutase et à quoi sert-elle?
La ou plutôt les SODs sont des enzymes (ou diastases) d’un genre particulierprésent(e)s partout là où existe la Vie. L’on en trouve chez tous les animaux avec de fortes concentrations, en particulier dans leurs globules rouges.
Pourquoi les globules rouges? Probablement parce que c’est précisément làqu’arrive le précieux oxygène respiré et qui est transporté par les globules rouges, afin de les purifier, dans toutes le cellules du corps.
Qu’est-ce qu’un(e) Enzyme? De nombreuses réactions chimiques sont accélérées par des substances diverses. L’on donne à ces substances spéciales le nom de catalyseurs. Les protéines naturellement produites dans l’organisme vivant et ayant cette propriété sont descatalyseurs biologiques, encore appelé enzymes.
Où trouve-t-on les SODs?
Bien sûr, les êtres humains, dont, à l’origine, les corps proviennent du genre animal, ont aussi des SODs dans leurs corps.
Les SODs – SuperOxyde-Dismutases – se trouvent aussi dans les plantes en plus ou moins grande quantité. Or, ainsi que l’a montré l’observation,plus une plante contient de SODs, plus elle est résistante, plus elle vieillit bien et plus elle se conserve longtemps!
Ce qui est bon pour la plante est certainement bon aussi pour les êtres humains! D’où le grand enthousiasme pour la SOD, un enthousiasme qui est à la mesure des espoirs que suscite la SOD – en particulier celle dite à cuivre et zinc, que l’on trouve, de la façon la plus abondante, dans le sang et les cellules.
Qu’est-ce que la Dismutation?
La dismutation est une réaction d’oxydo-réduction dans laquelle uneespèce chimique joue à la fois le rôle d’oxydant et de réducteur. Ce qui signifie qu’un atome ou groupe fonctionnel d’atomes (molécule), initialement présent à un seul degré d’oxydation se trouvera, après la réaction, sous forme de deux espèces de degrés d’oxydation différents.
La SOD peut donc dismuter le superoxyde, mais quel est l’intérêt de l’opération? Pour le comprendre, il convient tout d’abord de poser la question:
Qu’est-ce que le superoxyde?
Pour vivre nous respirons l’oxygène que nos cellules utilisent en tant quecomburant pour, par le phénomène de l’oxydation, nous fournir de l’énergie. Mais cette production d’énergie s’accompagne de la formation d’un petit dégagement deproduit toxique, tout comme un feu qui brûle en dégageant, lui aussi, de la fumée toxique.
Dans le cas de l’oxydation produite par l’oxygène le produit toxique généré par la combustion rendue possible par la présence de l’oxygène est l’ion superoxyde. Il se forme lorsqu’un électron – lequel est toujours de charge électrique négative – vient s’accrocher à une molécule d’oxygène.
Que vient faire la SOD là-dedans?
La superoxyde-dismutase est un ou une enzyme (le mot peut être au masculin ou au féminin) naturellement présent(e) dans le corps humain, qui, de façon extrêmement rapide, est capable de détruire l’anion superoxyde. L’on dit alors que la SOD dismute l’ion superoxyde et c’est précisément la raison pour laquelle on l’appelle la superoxyde-dimutase.
Les radicaux libres
Voyons maintenant ce que l’on appelle les radicaux libres. Les radicaux libres sont des genres chimiques produits dans l’organisme humain, qui, comme l’anion superoxyde, possèdent, sur leur couche externe, des électrons en nombre impair. Cela leur donne la propriété, un peu comme à un aimant, de s’accrocher à d’autres molécules auxquelles ils vont, à leur tour, céder leur électron libre.
Ce phénomène par lequel un corps chimique oxydé abandonne un électron à un autre corps chimique s’appelle une oxydation. C’est, par exemple, ce qui se passe lorsque le fer rouille: il cède des électrons à l’oxygène de l’air, ce qui donne naissance à des oxydes ferreux ou ferriques.
C’est ainsi que les cellules des organismes vivants, en prenant de l’âge, elles aussi, peu à peu, se mettent à «rouiller», elles cèdent des électrons, que ce soit de façon foudroyante lors des maladies à évolution rapide, ou «à petit feu» dans les maladies chroniques dégénératives. Pour cette raison les radicaux libres de l’oxygène, toujours prêts à se fixer sur des molécules “proies”, sont appelés desoxydants.
Le stress oxydatif
La vie c’est comme un feu constamment allumé, un feu qui produit plus ou moins de chaleur et d’énergie, mais qui laisse aussi s’échapper un peu de fumée, laquelle se révèle généralement être toxique. Toxique signifie “hostile à la vie”, donc “tueur”.
Heureusement, la fumée en question, afin d’en neutraliser la toxicité, peut être “récupérée” grâce au bon “tirage” des systèmes antioxydants à l’œuvre dans le corps.
Mais si le feu n’est pas correctement maîtrisé, il peut ou bien tout brûler (danger!), ou bien s’étouffer lui-même de par l’excès de fumées qu’il dégage et qui ne s’évacuent pas suffisamment bien et empêchent l’oxygène indispensable à sa combustion de lui parvenir.
La question de savoir pourquoi la combustion produit de la fumée plutôt que rien est une question métaphysique qui semble être liée avec l’énigme de la matière noire.
La production des radicaux libres de l’oxygène – les oxydants de l’organisme – est donc contrée par l’action des anti-oxydants. Toutefois, il faut qu’il y ait une oxydation, sinon il n’y a pas de feu et donc pas de chaleur et pas d’énergie. Mais, comme dans une maison où le feu doit rester dans l’âtre et ne pas en déborder et où la fumée doit être récupérée par la cheminée et être évacuée au dehors, le feu de l’oxydation dans le corps ne doit ni détruire celui-ci ni l’enfumer. Un harmonieux équilibre s’installe alors, comme dans un foyer où le feu crépite joyeusement sans dégénérer en incendie et sans asphyxier personne.
Lorsque cet harmonieux équilibre est rompu, l’on parle alors de Stress Oxydatif. Cela veut dire que la réaction d’oxydation est excessive et s’attaque à des cellules que – au lieu de les vivifier – elle détruit.
Les Antioxydants sont donc des molécules qui sont capables de neutraliser les radicaux libres, de réguler leur production. Dans le meilleur des cas un état d’équilibre s’installe entre oxydants et antioxydants. Car, s’il est nécessaire de réguler l’oxydation, elle ne doit, pour autant, pas être empêchée! En effet, sans elle – de même que sans feu -, pas d’énergie!
Complé{men}ter sa SOD naturellement existante dans le corps par une SOD supplémentaire
Où trouver cette précieuse SOD, souvent manquante, en quantité suffisante pour les besoins du corps humain en proie à de nombreux excès – et donc stress – oxydatifs? Quelle source de SOD utiliser pour obtenir un produit dont les bénéfiques effets agiront durablement?
Dans presque tous les pays les extraits animaux ont été abandonnés, du fait de divers dangers apparus lors de leur utilisation. La synthèse chimique des SODs ne donnera jamais les mêmes résultats que celle gracieusement fournie par la Nature. Le prélèvement sur les plantes sauvages est certes intéressant mais ne suffira pas à répondre à des besoins importants.
Une très intéressante source de SOD de très bonne qualité est le concentré de jus d’une variété de melon déjà naturellement riche en SOD.
A ce sujet il y a une histoire…
C’est en réalisant, de manière naturelle, le croisement entre plusieurs melons à l’aide d’abeilles que des chercheurs de la région d’Avignon ont constaté que l’un d’entre eux avait, grâce à un taux particulièrement élevé de superoxyde-dismutase, la très intéressante particularité de résister à la pourriture.
Partant de là, des recherches ont été effectuées au sujet des propriétés thérapeutiques de ce melon. Ces recherches ont conduit à l’obtention du prix européen Frost & Sullivan 2008 pour les effets prometteurs du concentré de pulpe de melon contre le stress oxydatif.
Ce produit est un remarquable concentré d’anti-oxydants naturels, en particulier de SOD, que l’on y trouve à l’importante dose de 14000 Ul/g. La SOD est l’un des plus performants antioxydants de l’organisme humain. Elle possède également une action anti-inflammatoire favorisant la régénération des tissus.
Elle contient également de la catalase, du co-enzyme Q10, de l’acide lipoïque, du glutathion, des vitamines A, C, E, et du sélénium. Donc unexcellent cocktail d’antioxydants.
L’extrait de melon a déjà montré de très prometteurs résultats dans le traitement de la maladie d’Alzheimer. La SOD permetrrait, en effet, de stimuler les astrocytes des cellules cérébrales, qui relanceraient la régénérescence des neurones malades.
En outre, l’extrait de melon est aussi bénéfique pour l’asthme, le cancer, la fatigue chronique, la stérilité, masculine ou féminine, certaines allergies, la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques… (Voir “Principes de Santé” et “Plantes & Santé” de Décembre 2008).
L’extrait de melon n’a pas d’effets indésirables, sauf, peut-être, quelques rares palpitations chez certains. La seule contre-indication serait une allergie à l’un de ses constituants. Par prudence, la femme enceinte ou allaitante s’en abstiendra.
A prendre juste avant ou pendant le repas, 40 milligrammes quotidiens, correspondant à une cuillère rase, sont indiqués. En cas de gros problèmes de santé ne pas hésiter à augmenter la dose.
En bref: La SOD – SuperOxyde-Dismutase – de Melon est donc une quasi-intarissable source de SOD.
La SOD, SuperOxyde Dismutase, est une enzyme anti-oxydante fondamentale, la première à intervenir, pour neutraliser l’ion superoxyde– autrement dit, le dismuter – dès sa formation. L’on peut donc dire, en quelque sorte, que ce serait, par excellence, l’enzyme anti-rouille des cellules de l’organisme.
“Toutes bonnes choses allant par trois”, en association avec le peroxyde d’oxygène et le germanium, elle fait merveille…
Trouver de la SOD: Vitasain complexe
Source: “Vous avez dit SOD?”.