Partout, dans les médias, l’on voit des publications et des mises en garde quant au fait de ne pas utiliser l’eau du robinet suite à une pollution. Ici un géant industriel déverse “par erreur” des produits chimiques dans une rivière, là une centrale d’épuration sature, est débordée et ne filtre plus rien…Ce sont, la plupart du temps, des pollutions épisodiques – dont les épisodes peuvent durer un certain temps…mais il y a aussi, plus sournoise, la pollution des nappes phréatiques, due notamment à des décennies d’épandage de pesticides à outrance. Dans bien des cas, ces pesticides se retrouvent dans notre eau du robinet…et pire encore, de nombreuses eaux en bouteille célèbres sont également touchées.
Voir au pied de cet article la carte interactive des pollutions des eaux souterraines par les pesticides. C’est proprement ahurissant !
Voici un extrait d’article publié par Top Santé en mai suite à un reportage diffusé sur France 3 :
Un reportage diffusé hier soir sur France3 démontre que l’eau du robinet n’est pas si “propre” que ça. En réponse à ce reportage, le ministère de la Santé se veut rassurant. Dans son reportage diffusé lundi 17 mai sur France 3, la réalisatrice Sophie Le Gall démontre que l’eau du robinet contient des pesticides, des nitrates, de l’aluminium, des résidus de médicaments… bref que l’eau qui coule des robinets dans notre pays est contaminée.Des traces d’antidépresseurs ou de contraceptifs subsistent après le traitement de l’eau en station d’épuration. Sans oublier les traces d’aluminium (utilisé pour blanchir l’eau) dans l’eau du robinet après sa sortie de la station d’épuration.
Les résidus médicamenteux, notamment, ne sont pas éliminés par les traitements de potabilisation, pas plus que les métaux lourds (plomb, mercure, arsenic…) dont les effets à long terme sont désastreux pour la santé – notamment à cause des effets cocktail et d’accumulations des substances polluantes.
Quelles solutions ? Les dispositifs de filtration de l’eau des habitations se multiplient, ce qui est normal compte-tenu de l’état de l’eau en France, mais tous ne se valent pas. Les osmoseurs filtrent très bien l’eau mais ils en rejettent autant qu’ils en filtrent, d’où un énorme gaspillage. Autre inconvénient: ils ralentissent considérablement le débit de l’eau et ne traitent qu’un point d’eau à la fois. Pire : l’eau est si bien épurée qu’elle est “morte” et qu’il est nécessaire de la re minéraliser pour la boire en toute sécurité. En effet, une eau déminéralisée va se charger avec les minéraux de votre corps et les éliminer.
Une méthode de filtration est à privilégier : le charbon actif de coco. Connu pour son haut pouvoir d’absorption et d’adsorption (les molécules indésirables < 0.5 µ sont en quelques sorte “piégées” dans les micro-tubes du charbon actif), il débarrasse votre eau des pesticides, résidus médicamenteux, chlore, métaux lourds…sans rejet ni baisse de débit. Parmi les dispositifs de filtration au charbon actif, un a particulièrement retenu notre attention: le système Amilo. Placé à l’arrivée d’eau de l’habitation, il filtre l’eau très efficacement et, grâce à un module exclusif de vitalisation, lui redonne ses propriétés vitales originelles. Pour les régions concernées par le calcaire, le filtre Amilo l’élimine naturellement et écologiquement puisqu’il le transforme en aragonite, une forme non incrustante du tartre. En savoir plus sur le système de filtration Amilo.