Dans l’opuscule «Voilà comment Dieu guérit» (les médecines de Hildegarde de Bingen, une nouvelle méthode de guérison par la nature, par le Dr Gottfried Hertzka) paru aux Editions Christiana (Stein am Rhein, Suisse), opuscule qui devrait être dans chaque foyer, chrétien ou non, il est donné, entre autres, une excellente recette pour les cardiaques et qui donne des résultats tout à fait extraordinaires.
L’abbesse Hildegarde de Bingen vécut il y a 800 ans (1098-1179) et mourut à l’âge de 81 ans. C’était ce que l’on appelle une “mystique”, et elle avait, en état de veille, une sorte de “télévision céleste” devant les yeux. Ainsi, à la fin de l’œuvre de sa vie, elle certifie et explique que tous ses ouvrages, tous ses récits ne sont que la transcription de ces images, de ces paroles divines; toutes les maladies et tous les remèdes décrits lui ont étés révélés par Dieu.
Le pape Eugène III fit contrôler les visions de Hildegarde et reconnaître son charisme par l’Eglise. Maintenant, 800 ans après leur révélation, ses “découvertes” médicales sont reconnues exactes par la médecine moderne.
Le Dr Hertzka, médecin naturaliste généraliste de Constance, sur le lac, dans son opuscule «Voilà comment Dieu guérit», nous indique quelques-uns des remèdes donnés par Hildegarde.
La recette du «Vin des cardiaques» donne d’excellents résultats pour toutes les faiblesses cardiaques et les vraies maladies cardiaques. Le Dr Hertzka l’utilise de plus en plus pour sa clientèle habituelle.
Le transmetteur dit: “Moi-même j’ai déjà communiqué cette recette plusieurs fois et chaque fois les résultats ont étés particulièrement bons. Même pour l’angine de poitrine, le vin des cardiaques apporte une amélioration sensible”.
Elle est, de plus, particulièrement simple à mettre en œuvre.
RECETTE DU VIN DES CARDIAQUES
10 tiges de persil frais, avec les feuilles, sont mises à tremper, dans un litre de vin naturel, y ajouter 1 ou 2 cuillères de vinaigre de vin naturel. Faire cuire 10 minutes à très petits bouillons (attention à la mousse). Ensuite ajouter 300 grammes de miel véritable et laisser cuire encore 4 minutes. Verser très chaud dans des bouteilles rincées avec de l’alcool alimentaire (vodka ou autre). Bien fermer et conserver à l’obscurité. Le dépôt qui se forme n’a pas d’inconvénients, agiter avant de boire. Pour compléter cette recette, il convient d’ajouter qu’il est laissé à l’appréciation de chacun de cuire le miel ou pas.
Plus loin le Dr H… ajoute:
«Quand tu sentiras ton cœur prends 1, 2, ou 3 cuillères à soupe par jour de vin et tous les points au cœur (par changement de temps ou par contrariété) seront balayés comme plume au vent. Ne sois ni peureux ni pointilleux, tu ne peux pas te faire de tort. Non seulement pour les petits malaises débutants, mais aussi pour les vraies faiblesses du cœur et surtout pour les douleurs cardiaques, tu auras souvent une aide précieuse et efficace, fournie par ton vin au persil et au miel, et peut-être aussi la guérison».
Le 21 janvier 1980, je reçus une lettre d’une femme de la région de Strasbourg dont je vous cite ici un passage:
“Je suis heureuse de vous faire savoir que je me suis préparée de votre vin des cardiaques et que j’ai eu des résultats étonnants. On m’a opérée, il y a 10 ans, et avertie que j’avais le cœur faible. De ce fait, je serais toujours sujette à des malaises auxquels il était impossible de remédier, en d’autres termes je devais m’accommoder de mon état. Mais, grâce au vin des cardiaques, mes malaises ont disparu au bout de 2 mois de cure. Je ne me sens plus faible, non plus.”
Michel Dogna, dans l’une de ses anciennes revues, dit qu’il n’a, pour les malaises cardiaques, jamais trouvé de traitement plus efficace que cette recette.