Un Antiparasitaire Universel
sont la cause de tous nos maux.»
– Hulda Clark –
Comme le souligne la Doctoresse canadienne Hulda Clark, dans ses divers ouvrages, pour déparasiter l’on peut, maintenant, utiliser l’électricité!
L’antiparasitaire universel dont il est ici question est donc le Zappeur Dr Clark, dont le modèle actuellement le plus performant, mis au point par la Dr Clark Research Association (DCRA) et fabriqué par le Dr Clark Zentrum – dont le fondateur fut élève de Hulda Clark (décédée en septembre 2009) – est le VariZappeur.
Voilà un petit appareil, dans sa simplicité d’utilisation, tout à fait étonnant et d’une efficacité – parfois surprenante – pour des problèmes de santé des plus variés. Plus les expériences se multiplient avec le zapping et plus les surprises sont agréables. Et la liste complète mais non exhaustive des indications du Zappeur, établie par la Doctoresse Hulda Clark (voir plus bas), est déjà très longue et peut encore s’allonger… Petit appareil, à toujours emporter avec soi, mais grands effets! Comme le dit maint utilisateur: “Je me zappe et j’aime ça!”.
Historique du Zapping Dr Clark
Suivant les traces de Royal Rife et développant le principe de l’élimination des parasites par les fréquences, la Doctoresse Clark, avec l’aide de son fils Geoffrey, va mettre au point son célèbre Zappeur.
Vers 1988 elle met tout d’abord au point le Synchromètre. Même si l’appareil est très simple dans son principe et dans sa technique, et que la base théorique du Synchromètre peut s’apprendre en un week-end, une bonne maîtrise du Synchromètre nécessite quand même plusieurs semaines d’entraînement.
Grâce au Synchromètre Hulda Clark découvre donc progressivement les fréquences qui, une par une, zappent le parasite correspondant. Au début elle se contente d’une exposition durant seulement trois minutes. Bien qu’encourageants les résultats nécessitent, pour parvenir à la pleine réussite, un processus de mise au point assez long et fastidieux.
A l’aide d’un petit zappeur zappant à 434.000 Herz fabriqué par son fils, en 1994, Hulda Clark réussit à venir à bout de la grande douve de l’intestin: le “fasciolopsis buski”. Elle s’aperçoit alors – ô surprise! – que le zapping à 434.000 Herz (434 kHz) zappe non seulement le fasciolopsis mais aussi d’autres parasites…!
Elle comprend alors que la fréquence n’est pas déterminante et découvre ultérieurement qu’il est, en fait, possible de zapper efficacement avec des fréquences allant de 10 Herz à 500.000 Herz (500 KHz). Par la suite, pour son Zappeur, elle retiendra la fréquence de base de 30 KHz. Par la suite, sur la base des fréquences données par Hulda Clark, des programmes spéciaux contenant des fréquences spécifiques seront développés permettant de cibler encore plus efficacement des parasites spécifiques.
Quant à la différence de potentiel c’est 9 volts qu’elle retient comme étant le voltage optimal. En fait, le voltage peut aller de 5 à 10 volts. Ellle se rend compte aussi que 3 minutes ne constituent pas toujours une durée de zapping suffisante pour faire éclater le parasite et porte donc la durée optimale à 7 minutes par séquence. Pour son Zappeur la Doctoresse Clark utilise toujours du courant continu et des ondes carrées. La résistance interne de sortie est de 1 k.ohm.
Générer des fréquences avec une polarité complètement positive est, selon elle, la manière la plus efficace pour rapidement tuer tous les germes pathogènes. Mais il faut s’y prendre à plusieurs reprises. Pour que le zapping soit efficace il est aussi nécessaire que les micro-organismes visés ne soient pas protégés par une enveloppe extérieure isolante vis-à-vis de l’électricité. Il faut considérer que le courant électrique circule sur les parois de l’estomac et de l’intestin et non à l’intérieur. Pour que le voltage soit toujours positif il ne faut, selon Hulda Clark, jamais descendre en dessous de 0.25 volts.
Mais que faut-il comprendre par “parasites”? Le concept de “parasites” au sens de Hulda Clark est très étendu; il va des plus petits comme les virus jusqu’au plus gros comme les ténias (pouvant atteindre plusieurs dizaines de centimètres de long), en passant par les vers tels que les ascaris, les vers plats que sont les douves (douve de l’intestin, douve du foie, dont nous reparlerons plus loin), les protozoaires, les levures, les champignons, les salmonelles (bactéries), les candidas albicans et autres (levures), les bactéries pathogènes en tous genres …
A ce sujet, dans son livre “La Cure de toutes les maladies”, la Doctoresse Hulda Clark écrit:
“Le terme «parasite» est utilisé en deux sens. Chaque être qui vit sur notre corps ou à l’intérieur de notre corps, qui ne se sert pas seulement de nous pour subsister, mais aussi pour manger, est nommé “parasite”, indépendamment de ses dimensions.
Mais les vers de grandes dimensions doivent être distingués des amibes de moyennes dimensions, et encore des bactéries qui sont plus petites et en fin des virus, les plus petits de tous. Très souvent, le terme “parasite” s’applique aux organismes plus grands ou de taille égale aux amibes. Dans ce cas le mot “parasite” sera utilisé pour tous les cas. Le contexte éclairera ce à quoi nous faisons référence.” (“La Cure de toutes les maladies”).
Etant donné que tenter, pour s’en débarrasser, d’empoisonner les bestioles indésirables dans notre corps avec des vermifuges chimiques n’est pas sans empoisonner aussi – même si “à petit feu” – le corps lui-même, et que l’effet déparasitant n’est, en ce cas, pas, non plus, instantané, la solution électrique, dans sa rapidité, n’en est que plus intéressante et même, tout bien considéré, révolutionnaire!
Grâce à des précurseurs pionniers comme l’Américain Royal Rife (découvreur des premières fréquences antiparasitaires) et la Canadienne anglaise Hulda Clark, l’on sait maintenant tuer très simplement la plupart des parasites humains et animaux avec de légers courants électriques – porteurs de fréquences appropriées – complètement inoffensifs pour l’être humain (mais pas pour les parsites!), et cela en seulement trois fois sept minutes (voire moins), avec deux pauses nécessaires entre les trois séquences de zapping.
Lorsque les parasites sont exposés à un courant de basses fréquences, ils sont littéralement pulvérisés sans dommages pour l’organisme humain. La Doctoresse Clark a appelé cette façon de soigner le «Zapping» et l’appareil qui sert à faire cela un «Zapper» (donc, rien à voir avec une télécommande de téléviseur permettant de “zapper” d’une chaîne à l’autre!).
Bien évidemment, tout comme l’utilisation de l’argent colloïdal, cela n’est pas fait pour faire plaisir aux fabricants d’antibiotiques et autres marchands de drogues chimiques… C’est fait pour aider les malades à retrouver la santé et aussi les bien-portants à le rester. Hulda Clark n’était pas seulement une vraie chercheuse indépendante mais aussi, elle, une femme exceptionnelle, réellement désintéressée. C’est pour cela que Hulda Clark, inventeur de l’appareil de base, et auteur de «The Cure For All Diseases» [“La Cure de toutes les maladies”] – ainsi que raconté par Pierre Lance dans le volume 4 (dernière biographie) de sa collection “Savants maudits, chercheurs exclus” – a eu autant de détracteurs et d’ennuis judiciaires ou autres. A noter, de plus, que le VariZappeur a été doté de fonctions électroniques supplémentaires et d’un écran, qui le rendent plus ergonomique que le modèle original de Hulda Clark – lequel s’appelait alors “A6” – puisque, avec cet appareil, capable aussi de lire des cartes mémoire, tout est maintenant automatique.
Principe de base du VariZappeur
Ainsi, il a pu être établi que plus un être vivant est évolué dans la chaîne de l’évolution biologique, plus sa fréquence propre est élevée, et plus sa bande passante est large. Néanmoins, cette bande passante se rétrécit progressivement avec le vieillissement de l’organisme et la perte de vitalité. La fréquence propre d’un chat adulte est aux environs de 800 kHz, alors que celle d’une fourmi est de 200 kHz. Chez l’être humain, cette fréquence varie entre 1520 et 9460 kHz. A partir de ces bases de données, un programme de balayage rapide de fréquences spécifiques, allant jusqu’à 37 kHz, a été mis au point par un médecin indien dans les années soixante-dix.
– Les levures ont de 80.000 à 140.000 vibrations par seconde, ce qui veut dire que leur fréquence est de 80 à 140 kHz.
Pour en savoir plus sur les fréquences des êtres vivants il est, par exemple, possible de se référer à l’étude: “Complet nettoyage du corps selon la Doctoresse Clark”.
Tel que conçu par le Dr Hulda Clark, le zappeur peut se définir comme une source de micro-courant continu, qui envoie des impulsions de voltage et des fréquences avec les caractéristiques comme suit:
- Avoir une sortie entre 5 et 10 Volts continu pulsé (en ondes carrées), sans phase négative. Le courant déparasitant est nécessaire du courant continu, en ondes carrées. C’est la raison pour laquelle tous les Zappeurs Dr Clark fonctionnent avec des piles (courant continu) et non pas sur le secteur.
- Avoir une fréquence comprise entre 10 Hz et 500 000 Hz. La fréquence recommandée par le Dr Clark était de 30 kHz ou 32 KHz. Mais cela aurait pu être une autre, puisque, pour un Zapping de base (l’on verra plus loi qu’il existe aussi des programmes spécifiques susceptible d’obtenir de meilleurs résultats, lorsque la cible est connue) toute fréquence entre 10Hz et 500 000 Hr pourrait convenir.
Sur cette page il est possible de voir, sur une paramécie, comment le zapping agit. Pour beaucoup de problèmes de santé il ne faut pas hésiter à essayer le zappeur, sauf cas très exceptionnels (voir restrictions) cela ne pourra qu’être bénéfique, en jamais nuire.
Limites du zapping
– Le micro-courant électrique du Zapper passe mal à l’intérieur de l’intestin, organe creux et assez graisseux, et c’est pourquoi il peut s’avérer nécessaire d’associer aux séances de Zapping avec un zappeur des Cures de Plantes Antiparasitaires (Programme Antiparasitaire Dr Clark).
– Le courant passe aussi moins bien chez les personnes dont le corps est naturellement globalement plus graisseux (cela ne signifie pas nécessairement que ces personnes sont en surpoids!). Il passe aussi globalement un petit peu moins bien chez les femmes (naturellement plus “graisseuses”) que chez les hommes.
– Le zapping est aussi moins efficace chez les personnes dont le corps (ce qui semble assez fréquent) est pollué aux PCB (faisant partie des cinq destructeurs de l’immunité – ce qui le rend aussi artificiellement plus graisseux -. Environ 15% des personnes, selon Hulda Clark, réagissent moins bien au zapping que les autres.
C’est à l’intention de ces personnes qu’elle a mis au point le zapping à plaques, dispositif se présentant sous la forme d’un plateau avec deux plaques métalliques – d’où son nom -, permettant de concentrer le flux du courant électrique dans un ou plusieurs organes – évitant ainsi la dispersion dans tout le corps -, ce qui a pour effet de renforcer son effet dans le ou les organes considérés. Grâce au zapping à plaques il est possible de chasser les parasites jusque dans l’intestin!
La détermination des séquences de zapping
La procédure classique (déjà présente en mémoire morte de l’appareil) est: 7 minutes de zapping, 20 minutes de pause, 7 minutes de zapping, de nouveau 20 minutes de pause, et, pour finir, encore 7 minutes de zapping. Cela fait donc trois étapes de 7 minutes de fonctionnement, entrecoupées de 2 pauses de 20 minutes chacune. En effet, le Dr Clark explique, toujours dans son ouvrage “La Cure de toutes les maladies” ainsi que dans ses autres ouvrages, qu’il faut déjà 3 séances consécutives pour venir à bout de l’ensemble des parasites présents dans un corps humain ou animal.
Pour quelles raisons?
- Le premier zapping tue les gros parasites (vers, douves, etc.), les bactéries et les virus, à l’état “libre” mais pas les bactéries et virus présents dans d’autres parasites plus gros. Il en va, en effet, des parasites comme des poupées gigognes ou russes: il sont comme “emboîtés” les uns dans les autres. De plus, il faut considérer que l’électricité circule principalement sur les parois des organes creux (comme l’intestin) et pas forcément à l’intérieur, ou nettement moins. Mais, après un premier passage du courant de sept minutes, les bactéries contenues dans des parasites plus gros, s’apercevant qu’ils séjournent désormais dans un organisme mort, se décident à en sortir…
- Le second zapping tue la seconde vague de virus et bactéries – notamment ceux et celles sortis d’un parasite plus gros déjà mort -, mais quelques virus apparaissent encore.
- Après le troisième zapping, le Dr Hulda Clark précise qu’elle n’a jamais retrouvé de virus ou bactéries encore vivants (test négatif au Synchromètre), même après plusieurs heures après la fin zapping.
Il s’agit donc là de la séquence de base prônée par Hulda Clark. Selon ce qu’elle explique, certains parasites meurent déjà au bout de quelques minutes, donc avant même la fin des sept minutes, mais avec sept minutes elle assure quelque minutes supplémentaires de marge de sécurité, étant donné que la résistivité des corps humains est très variable. Les parasites qui résistent à une première séance pourront être éliminés au cours de séances ultérieures.
N.B.: Par mesure de sécurité, le zapping est déconseillé aux personnes équipées d’appareils électroniques style pacemaker, ainsi qu’aux personnes ayant une importante pièce métallique dans leur corps (broches, prothèses), de même qu’aux femmes enceintes. Des pièces métalliques minimes comme, par exemple, des couronnes dentaires, ne semblent pas présenter, vis-à-vis du zapping, d’inconvénients majeurs, de sorte à devoir aller jusqu’à empêcher le zapping.
Le zapping des aliments
Toujours selon Hulda Clark, il est bon de savoir aussi que, grâce au Zappicator, il est non seulement possible de zapper son corps mais qu’il est aussi possible de zapper ses aliments. Tout bien considéré, c’est même encore mieux, car si l’on absorbe des aliments déjà débarrassés des parasites et de leurs œufs, l’on pourra être sûr de ne pas s’infester de cette manière, ce qui réduira d’autant les besoins de zapper le corps, tout en sachant quand même que si la nourriture (en particulier la viande et les produits laitiers) est l’une des principales sources d’infestation, elle n’est pour autant pas la seule. Le simple contact avec des animaux domestiques (chiens, chats, animaux de la ferme) est tout à fait suffisant pour “attraper” leurs parasites! Il n’en reste pas moins que zapper ses aliments – surtout ceux à risque parasitaire (viandes, produits laitiers, cresson, etc.) est une excellente idée!
Résolution d’éventuelles problématiques
Une fois que l’on a compris comment se zapper, il peut être opportun d’examiner ce qui peut arriver lorsque l’on se zappe, y compris de possibles symptômes d’élimination:
- Peuvent survenir après une première séance (de quelques heures après jusqu’à quelques jours après une séance): Légers étourdissements – Légères nausées – Maux de tête – Diarrhée légère et/ou flatulences – Somnolence.
- Pendant quelques jours: Démangeaisons ou raideurs des jointures – Éruptions cutanées – Fatigue et somnolence, comme après un copieux festin.
Quelques explications sur les effets du zapping
Outre la neutralisation des envahisseurs à vaincre, le passage d’un mico-courant dans le corps humain stimule les échanges entre les cellules, et réveille les globules blancs (dont, selon le Dr Alain Scohy, la nourriture de prédilection est la Vitamine C) et autres agents défensifs du corps, qui deviennent soudainement “agressifs” vis-à-vis des parasites et des microbes pathogènes.
A ce sujet Hulda Clark écrit:
“Une force électrique positive pulsante qui monte et qui descend semble irradier de l’énergie à vos globules blancs, qui partent ensuite attaquer en force les ennemis: parasites, toxines, bactéries, tout cela, malgré la présence des 5 immunosuppresseurs. Ainsi le zapper détruit les parasites en réactivant – même si c’est temporairement – la capacité immunitaire”.
Résultats:
- Le système immunitaire se débarrasse du trop plein de parasites accumulés, d’ailleurs quelquefois un peu trop vite… Penser alors aux enzymes digestives.
- En cas de substances en suspension dans votre organisme (telles que médicaments, drogues, alcool…) le “commerce intercellulaire accéléré” rendra le transit de ces substances de vingt à trente fois plus rapide.
En cas de prise de médicaments, l’emploi du Varizappeur devrait permettre de diminuer – voire de complètement supprimer – la dose quotidienne de dépendance médicale chimique, et il faut alors peut-être songer à faire revoir à la baisse le dosage des médicaments prescrits par le médecin.
Mettre un terme aux douleurs inflammatoires
Pour Hulda Clark il n’y a que deux causes aux maladies: les parasites et les polluants. Les douleurs inflammatoires sont le résultat d’une bataille engagée entre, d’une part, les microbes et parasites tentant l’invasion cellulaire et, d’autre part, les leucocytes (globules blancs). Il y a alors de la chaleur locale et de la pression, ce qui a pour effet de générer la douleur.
En fait, il faut considérer, au départ, que – comme le souligne Michel Dogna – toutes les maladies et pathologies dont les noms se terminent par «ite» (= inflammation) – et selon Hulda Clark, encore bien d’autres – sont liées à des parasites.
Il arrive souvent que la douleur disparaisse au cours de la séance même de zapping, ou, tout au moins, au cours des heures qui suivent. En cas de cancer, il est même curieux que – selon Hulda Clark – son principal marqueur – l'”orthophospho-thyrosine” [OPT] (produite, selon Hulda Clark, par les stades de larves du fasciolopsis buski) – disparaisse après une seule séance (elle n’est plus détectable au Synchromètre). D’une façon générale, le soulagement des douleurs est le signe que la séance de zapping a été bénéfique.
Après une séance de zapping les personnes sensibles ressentent un bien-être immédiat et une récupération d’énergie. De plus, le besoin de sommeil diminue au gré de leur récupération. A noter que, selon Hulda Clark, il n’y a aucun effet indésirable (elle n’en a jamais observé), même sur les très jeunes enfants et même sur les bébés.
Les dangers méconnus des vers ronds ou plats
Des chirurgiens rapportent, en privé, avoir souvent l’occasion, lors d’interventions chirurgicales, de retirer d’impressionnantes quantités de vers des intestins de leurs patients, qui en étaient donc des porteurs inconscients. Selon Hulda Clark différentes sortes de vers, dont – en outre – la médecine ne s’occupe guère, créent des pathologies complexes plus ou moins graves, voire même fatales, comme peuvent l’être le cancer ou le sida. Selon Hulda Clark, affirmant avoir trouvé la vraie cause du cancer, les parasites peuvent générer des facteurs de croissance capables de provoquer le cancer. Le cancer est une maladie parasitaire!
Si beaucoup savent que les oxyures entraînent le “bruxisme” (grincements de dents), il est moins connu que des ascaris sont présents dans les poumons de tout asthmatique. Par ailleurs, peu de gens savent que les mauvaises odeurs corporelles sont très souvent dues aux excrétions des parasites “hébergés gratuitement” dans le corps humain.
Mais, parmi tous les vers parasites, il en est un dont l’on se soucie peu et qui, selon Hulda Clark – ainsi que selon la médecine ayurvédique -, est de loin le plus dangereux: c’est la grande douve de l’intestin ou “fasciolopsis buski” (nom scientifique), qui passe, dans sa croissance vers l’état adulte, par cinq stades de larves intermédiaires (cercaires, métacercaires, rédies). Ce ver très plat, qui vit des années, dans chaque selle de son hébergeur, largue, à chaque fois, plus d’un million d’œufs!
Hulda Clark a parfois été attaquée en disant qu’elle trouvait, avec son synchromètre, des parasites exotiques, comme, précisément, le fasciolopsis buski, dans des régions ou, en principe, ils n’existent pas, mais il existe des faits qui lui donnent raison, comme par exemple, le cas d’un jeune Indien vomissant quatre fasciolopsis buski par la bouche.
Tout cela ne serait pas si grave sans, en plus, la présence de poisons chimiques courants que l’on absorbe régulièrement par simple contact, inhalation ou ingestion dans le cadre de la pollution moderne et qui entraînent une migration des parasites. dans d’autres organes du corps que ceux où ils se trouvaient initialement.
Il s’agit en particulier du benzène, du méthyle, du butylcétone, du propanol, du toluène, du xylène, du propylène, du MEK, du MBK, et de nombreux solvants ou azo-colorants…..
Voici quelques exemples caractéristiques:
- En présence de toluène ou de xylène, la grande douve de l’intestin (fasciolopsis buski) migre vers le cerveau, où on la retrouve dans des cas de malades d’Alzheimer ayant subi une trépanation.
- En présence de méthanol, la douve migre vers le pancréas où on la retrouve chez les diabétiques.
- En présence de MEK ou de MBK, la douve migre vers l’utérus et provoque de graves endométrioses.
- En présence de benzène, la douve migre vers le thymus, provoquant le SIDA.
- En présence d’alcool isopropylique, la douve migre vers le foie, où, l’alcool isopropylique dissolvant la coquille des œufs, elle peut alors se reproduire et proliférer, provoquant divers cancers.
Ces données proviennent non seulement de la Doctoresse Hulda Clark elle-même mais aussi d’études américaines, allemandes et suisses, n’ayant que peu ou pas été publiées en France.
De même, il est pratiquement systématique que la grande douve de l’intestin (“fasciolopsis buski”) ou celle du foie, (“fasciola hepatica”) soit présente:
- dans les reins en cas de Lupus ou de la maladie de Hodgkin,
- dans le foie dans les cas de troubles du comportement ou d’allergies,
- dans la maladie de Crohn,
- dans les sarcomes,
- dans le syndrome de Kaposi.
Un autre exemple est le syndrome d’immunodéficience acquise ou “sida”. Cette maladie provient d’une accumulation de benzène dans le thymus, ce qui permet, à son tour, au même parasite, en tant que co-facteur du cancer, fasciolopsis buski, de s’y établir. C’est par ceci que commence la diminution systém{at}ique des protections immunitaires d’un certain nombre d’autres organes.
Un autre exemple est encore le diabète. Cette maladie provient du fait que l’immunité du pancréas est compromise par le méthanol ou alcool de bois. Cela permet au parasite eurytrema pancreaticum – ou douve du pancréas des bovins -, de s’y établir, et de perturber la production d’insuline du pancréas.
Le Dr Hulda Clark a découvert qu’il y a beaucoup d’autres parasites qui profitent de la baisse de l’immunité pour causer d’autres maladies. Un contributeur majeur à l’un des tueurs les plus répandus – les maladies cardiaques – est le dirofilaria, ou ver du cœur de chien. On trouve aussi le loa loa dans le cœur du chien. Le dirofilaria est également responsable de causer le lymphome de Hodgkin provoquant l’apparition de tumeurs dans la poitrine. Un autre parasite, l’onchocerca, est responsable du lymphome non hodgkinien, ou de tumeurs abdominales.
Si un chat seul dans un magasin de porcelaine ne fait pas trop de dégâts ni même un chien non plus, par contre il est clair qu’un chien poursuivant un chat dans un magasin de porcelaine peut en faire beaucoup. Il en va de même pour parasites et polluants dans le corps humain. Le parasite seul n’est pas forcément extrêmement nocif et le polluant seul non plus, mais les deux ensemble peuvent générer un cocktail détonnant!
La malaria et les autres maladies tropicales
Les pays tropicaux et surtout équatoriaux, chauds et humides, présentent les conditions “idéales” pour un véritable bouillon de culture propice au développement des maladies parasitaires. Le VariZappeur offre une protection universelle lors de tout voyage dans les pays exotiques avec, de façon préventive, par exemple, deux séances par semaine, ou davantage. Penser aussi, en cas de voyage, à emporter du charbon suractivé et de l’acide chlorhydrique alimentaire dilué à 5% (en mettre deux gouttes dans les crudités).
Les parasitoses
Les infestations par champignons, levures et autres candidoses font l’objet d’une longue liste d’accablantes pathologies que l’on peut traîner, toute sa vie durant, à travers des symptômes avec lesquels même la médecine officielle ne fait, le plus souvent, aucune relation.
En fait, il faut considérer, au départ, que – comme le souligne Michel Dogna – toutes les maladies et pathologies en «ite» (inflammation) – et selon Hulda Clark, encore bien d’autres – sont liées à des parasites.
Dans son livre “La cure de toutes les maladies”, le Dr Hulda Clark cite l’utilisation du zappeur pour les problèmes suivants:
Alcoolisme, allergies diverses, autisme, chute des dents, dépression, diabète, fatigue, fièvre, glaucome, grippe, herpès, hypertension, infections par levures, insomnie, maladie d’Alzheimer, maladies musculaires, pertes de mémoire, problèmes digestifs, tous les problèmes de peau, schizophrénie, sclérose, tous les syndromes inflammatoires, etc.
Le Zappeur Dr Clark a été utilisé, en toute sûreté, par des dizaines de milliers de personnes à travers le monde, dans toutes sortes de pathologies graves ou légères, depuis maintenant plus de deux décennies. Selon Hulda Clark il a même été utilisé sur des bébés de 8 mois, sans le moindre problème.
Nota Bene: Chose importante à savoir, le Zapping est compatible avec tout traitement en cours. Bien qu’il puisse en remplacer un certain nombre, il n’oblige à interrompre aucun traitement.
Quel appareil choisir?
Volontairement – parce qu’elle voulait que cela reste libre et accessible à chacun – Hulda Clark n’a pas déposé de brevet sur son invention (dont elle donne les plans dans ses ouvrages), de sorte que différents fabricants peuvent, aujourd’hui, prétendre réaliser des “Zappers Dr Clark”.
Toutefois…
En effectuant l’achat d’un zappeur, assurez-vous…
… que le voltage du zappeur ait une onde carrée avec un offset à 100% positif. Le voltage doit varier à plusieurs reprises, en montant et en descendant. Uniquement de cette manière les parasites peuvent être tués avec une tension très basse. Si le voltage variable devient négatif, même si c’est momentanément, il donne du soutien aux envahisseurs et les maintient en vie.
Le voltage appliqué par pulsations de façon à produire une onde “carrée” frappera immédiatement beaucoup de parasites, ainsi le nombre de pulsations en unité de temps, appelé “fréquence” n’est pas si important. Même si ces minuscules animaux ont sûrement leur “fréquence mortelle”, lorsque l’on emploie une onde électrique carrée totalement “positive”, il n’est pas nécessaire de savoir exactement quelle est la fréquence pour l’appliquer.
Il existe de petits modèles à relativement bas coût, généralement déjà capables d’envoyer un courant et des fréquences bénéfiques, mais:
– Ces appareils rudimentaires ne sont pas forcément pourvus du marquage CE, autorisant la commercialisation légale dans la Communauté Européenne
– Ils ne sont généralement pas, non plus, enregistrés comme appareils médicaux pouvant être utilisés sur le corps humain. Cela présente un risque pour le vendeur, mais aussi pour l’acheteur.
– Ces appareils sans électronique n’ont pas d’écran permettant à l’utilisateur de surveiller ce qui se passe et obligent, en plus, à l’utilisation d’un minuteur pour déterminer manuellement – l’œil constamment rivé sur le minuteur afin de respecter les temps d’exposition et de non exposition – les séquences de: 7 minutes de zapping – 20 minutes de pause – 7 minutes de zapping – 20 minutes de pause – 7 minutes de zapping.
– Ces appareils ne sont pas non plus capables de détecter si la conductivité du corps est suffisante pour le programme soit réellement exécuter. Cela ne sert à rien de s’imaginer “se zapper”, si, en réalité, le courant ne passe pas!
– Ces appareils parfois construits à la va vite utilisent, le plus souvent, pour le passage du courant, des électrodes sous forme de tuyaux en cuivre. Or il faut savoir que, lors du contact avec le corps humain, une migration non contrôlée d’ions métalliques de cuivre toxiques est tout à fait possible. C’est dommage de se faire du bien en se zappant d’un côté, tout en se polluant au cuivre de l’autre!
– Ces petits appareils sont aussi généralement des systèmes clos, sans possibilité de connexion avec des accessoires aussi intéressants que le Zappicator pour les aliments ou le Plate-Zapper (Zapping à plaques), permettant de cibler beaucoup plus précisément les organes et les parasites et même de fabriquer soi-même ses propres copies homéographiques (eau informée contenant les fréquences des organes ou des parasites).
– Ces appareils de bas de gamme, pouvant convenir à un petit budget (c’est mieux que rien!), n’ont pas de lecteur de cartes mémoire, permettant, en plus du programme de base de 32 kHz, en mémoire morte de l’appareil, de lire aussi des programmes spécifiques de grand intérêt, permettant de zapper spécifiquement certaines régions du corps ou de viser les parasites spécifiques des pathologies courantes.
C‘est, par contre, le cas pour le VariZappeur Dr Clark, fabriqué, en collaboration avec la Dr Clark Research Association (DCRA), par le Dr Clark Zentrum américain et européen, qui n’a aucun des inconvénients ci-dessus mentionnés et dispose, en vue d’une efficacité accrue, sous forme de cartes mémoire, de pas moins de 63 programmes spéciaux.
Quel que soit le modèle, ne soyez pas surpris si le descriptif ou la notice officielle ne comporte aucune allusion au déparasitage. C’est que les zappeurs ne sont, par la science médicale officielle, pas encore reconnus pour cet usage. A titre d’exemple, dans l’Union Européenne, le VariZappeur est uniquement reconnu pour le “TENS” (“Transcutaneal Electric Nerve Stimulation”), c’est-à-dire, dans la langue de Molière, la “stimulation transcutanée (à travers la peau) électrique des nerfs”, alors qu’aux Etats-Unis il n’est reconnu pour … rien (ce qui n’empêche pas qu’il soit quand même commercialisé)! Cela signifie que les fabricants et distributeurs n’ont légalement pas le droit, au sujet d’un zappeur, de mentionner autre chose dans les descriptifs, notices ou modes d’emploi, que ce pour quoi ces appareils sont officiellement reconnus. Libres ensuite aux acquéreurs de les utiliser pour ce pour quoi bon leur semble!
De plus, le VariZappeur n’est pas limité à lire l’une des 63 cartes mémoire déjà existantes et présentement commercialement disponibles, mais il est aussi capable de lire toute carte mémoire enregistrée à l’aide du VariGamma, appareil de la même “famille”, qui, lui, est un générateur de fréquences (par ailleurs doté des mêmes possibilités de zapping et de lecture de programmes que le VariZappeur). L’intérêt est évident. Un thérapeute utilisant un VariGamma peut générer et et enregistrer de nouveaux programmes spéciaux, à l’intention de ses clients. C’est intéressant pour les nombreux cas particuliers pouvant se présenter à lui, car c’est la possibilité de pouvoir réaliser des programmes sur mesure, 100% adaptés à la personne à soigner, qui pourra, tout aussi simplement, sans avoir elle-même besoin du VariGamma, les exécuter sur son VariZappeur. Le livre “La Cure de toutes les maladies”, comporte, à la fin de l’ouvrage, environ 350 fréquences de pathogènes (fréquence inférieure, fréquence supérieure et fréquence moyenne). Il est encore d’autres fréquences d’indiquées dans le Manuel du Synchromètre 1 et 2 de Hulda Clark. D’autres fréquences peuvent être trouvées à l’aide d’un Synchromètre et d’un VariGamma.
Bracelets, électrodes adhésives, cylindres, étoffes de contact ou pantoufles?
Il faut placer les électrodes ou autres accessoires de contact (il en existe de nombreux: bracelets, cylindres de carbone ou de métal, ceintures ou étoffes de contact, ou même pantoufles avec semelles individuelles) au plus près de la région à traiter, mais avec toujours un écartement de 15 cm minimum.
Concernant les meilleurs accessoires de contact à utiliser il convient juste de savoir que plus la surface de contact est grande et plus le courant électrique a de chances de passer au mieux.
Exemples:
- Pour les problèmes des mains et des bras: une électrode à un poignet, l’autre à l’autre poignet
- Pour les problèmes d’un seul bras: une électrode face interne et une électrode à 15 cms face externe
- Pour les problèmes d’une épaule: 1 électrode devant, une électrode derrière l’épaule
- Pour les problèmes des poumons et du cœur: une électrode de chaque côté de la cage thoracique
- Pour les problèmes de ventre: une électrode à gauche et une à droite à la ceinture, devant
- Pour les problèmes vertébraux: une électrode de chaque côté des vertèbres douloureuses
- Pour les problèmes de jambes: une électrode à gauche et l’autre à droite, à la ceinture dorsale
- Pour les problèmes d’une jambe complète: une devant la hanche, une derrière la hanche
- Pour les problèmes de genoux: une électrode face interne, l’autre électrode face externe du genou
- Pour les problèmes de pieds: 1 électrode face interne, 1 électrode face externe de la cheville
- Pour les problèmes au niveau de la tête: une électrode de part et d’autre du cou (il est déconseillé de placer des électrodes directement sur le visage; en cas de réaction allergique au courant, des marques pourtraient rester).
Remarque: Le VariZappeur peut aussi être utilisé avec profit sur un animal. Profiter d’une circonstance où il sera calme et aura envie de faire la sieste. Choisir, de préférence, un endroit exempt de poils comme le ventre pour les chiens, en plaçant une électrode à droite et une à gauche. Les maintenir avec une bande et caresser éventuellement l’animal au début pour qu’il reste sage et ne s’enfuie pas en tirant sur les fils des électrodes. Bien sûr, il est nécessaire que le courant puisse passer, et les poils de l’animal peuvent éventuellement s’opposer au bon passage du courant. Par conséquent, si nécessaire, ne pas hésiter à tondre l’animal à l’emplacement adéquat pour libérer deux surfaces de contact, à gauche et à droite de l’animal (distance minimale: 15 centimètres). Pour plus d’informations sur le soin des animaux avec les protocoles Dr Clark voir ici.
Nota Bene: Que ce soit sur un être humain ou un animal, l’un des gros avantages du Varizappeur par rapport à des appareils plus rudimentaires, c’est que l’appareil “refuse” de fonctionner si les condictions d’une conductivité suffisante ne sont pas remplies; après avoir affiché sur son écran le message “No contact” ou “Pas de contact” (il est aussi possible de paramétrer la langue en choisissant la version française, allemande, espagnole ou portugaise), il s’arrête et s’éteint alors tout seul au bout de deux minutes. Cela évite de dépenser des piles pour rien et de s’imaginer avoir été “zappé” alors qu’en réalité rien ne s’est passé. En un tel cas il convient d’améliorer la conductivité, soit en mouillant davantage les bracelets soit en les remplaçant par des électrodes adhésives ou d’autres accessoires de transmission du courant (ceintures, étoffes de contact, cylindres en carbone ou en acier, ou pantoufles avec semelles) plus performants.
Processus d’élimination après le zapping
Suite au zapping ayant pour effet d’éliminer de nombreux parasites il peut y avoir quelques réactions dues à l’accumulation de matière morte (les “cadavres” des parasistes!) dans le corps. Statistiquement parlant, un être humain adulte peut receler dans son corps jusqu’à 1 kilogramme de cadavres de parasites de toutes sortes, qui doivent ensuite être soit digérés, soit évacués, une matière morte qui charge le foie et peut créer un état de fatigue immédiate, ou retardé de quelques jours, tout en générant pasfois quelques légères nausées. Pour aider cette élimination, selon les indications de Hulda Clark, il est conseillé de prendre des enzymes digestives Dr Clark (15 gélules pour 4 heures de zapping) et de boire 1 à 2 litres d’eau par jour, bien sûr une eau plate de bonne qualité, non minérale et non gazeuse, par petites rasades.
Utilisation du VariZappeur en résumé
1 – Fixer les bracelets, électrodes adhésives ou autres accessoires dédiés au passage du courant sur la région à soigner avec toujours un minimum de 15 centimètres d’écart entre le positif (rouge) et le négatif (bleu).
2 – Appuyer sur le bouton “ON”, puis sur le bouton “Start”. Tout le reste est automatique. Avec son programme par défaut présent dans sa méoire morte l’appareil exécute tout seul le séquence 7 minutes de zapping – 20 minutes de repos – 7 minutes de zapping – 20 minutes de repos – 7 minutes de zapping, puis s’arrête tous seul, lorsqu’il a terminé.
3 – Effectuer le programme “7-20-7-20-7” = 3 fois 7 minutes, séparées de deux pauses de 20 minutes chacune. Cela représente, pour le programme de base en tout 61 minutes (les programmes spéciaux en registrés sur les cartes mémoires peuvent, toutefois, requérir un temps d’exécution parfois plus court mais souvent plkus long). Mais il existe un accessoire pour accrocher le VariZappeur à sa ceinture, tout en le protégeant par une coque d’enveloppe en caoutchouc (l’appareil n’aime pas les chocs violents, tels qu’une chute au sol!) vous pouvez mettre le VariZapper dans une grande poche (de sorte à ne pas risquer par la pression de la paroi d’activer l’un des boutons de la face avant de l’appareil) ou une pochette accrochée autour du cou, puis vaquer librement à vos occupations usuelles, comme passer l’aspirateur, lire le journal ou regarder la TV.
Si les désagréments d’élimination sont trop dérangeants, c’est parce que le traitement est trop fort pour vous. Il n’est alors pas conseillé de complètement l’arrêter, mais juste d’espacer les séances. “Ecoutez toujours votre corps!”, disait Hulda Clark!
Voir aussi:
http://www.amessi.org/VIH-SIDA-les-Causes-et-la-Therapie
http://santenaturelle.over-blog.net/article-les-parasites-et-la-pollution-118068912.html
http://santenaturelle.over-blog.net/article-zapping-de-base-et-zapping-frequentiel-113817749.html
http://www.lasantenaturelle.net/448/la-sante-naturelle.html
http://www.lasantenaturelle.net/623/la-sante-naturelle.html
http://www.lasantenaturelle.net/222/la-sante-naturelle.html
http://www.lasantenaturelle.net/615/la-sante-naturelle.html
http://www.lasantenaturelle.net/519/la-sante-naturelle.html