Abus – Un livre de Sylvie Renault
.
.
Cela fait plus d’un siècle que des scientifiques demandent poliment au corps médical d’arrêter de se tromper, sans résultat. Ils l’ont fait de tout leur cœur, dans leur propre langage. Mais ils ne sont pas entendus. Et la souffrance des enfants perd patience.
C’est pour tenter autre chose, que j’ai écrit ce livre destiné au grand public. En première partie, il vous délivre le contenu de mon journal intime, qui foisonnait de détails sur les souffrances que l’intoxication chimique m’infligeait en permanence, que je sois dans les bras d’un homme ou sur mon lieu de travail. J’explique ensuite comment j’ai décelé cette intoxication en moi et fait le lien entre elle et mes symptômes. En seconde partie, je décris les méthodes de soin qui m’ont été proposées et qui m’ont sauvé la vie alors que j’étais aux portes de la mort, après vingt six ans de maladie inexpliquée.
Mon témoignage est complété par une analyse documentée du processus d’intoxication chimique, validée par deux scientifiques du plus haut niveau, qui m’a conduite à la conclusion que la plupart des maladies dégénératives en découlaient. La médecine d’Etat agit donc à contresens, en s’appuyant exclusivement sur la consommation de produits chimiques, via les médicaments, vaccins et amalgames dentaires. En conclusion, je m’appuie sur cette démonstration pour inviter la population à renoncer à des politiques de santé qui n’en ont que l’apparence, au profit des méthodes préventives, qui sont les seules médecines dignes du nom.
L’originalité de ce livre est de mettre l’information à la portée de tous les niveaux socioculturels. Et son intérêt est de permettre au lecteur de déceler une éventuelle intoxication chimique en lui, puis de se soigner, car la médecine d’Etat n’a que du déni à lui proposer. Quand l’évidence la remet en cause, elle ose encore dire: «Ça se peut pas». Le titre de mon livre est ma réponse à son effronterie.
Source: http://unlivreouvert.fr/
La chimie n’est pas digestible par l’être humain
Cette donnée reste la grande inconnue de l’équation de la santé. Dans le métabolisme humain, rien n’a été prévu pour faire parade à l’agression chimique. C’est comme ça. La seule façon de s’en protéger est donc de ne pas laisser les produits chimiques s’introduire dans notre organisme.
La chimie est arrivée à brûle-pourpoint dans l’évolution humaine, pour nous acculer à nous incliner devant nos limites. Il est urgent que nous en prenions conscience et que nous stoppions l’escalade qui consiste à chercher le salut immunitaire et sanitaire dans le développement de la chimie, alors qu’il en est le grand fauteur de trouble.
La chimie nous a «trahis». Elle n’a pas tenu la promesse qu’elle nous avait faite à l’origine. Qui l’a compris et s’en écarte, a quelque chance d’échapper à l’épidémie de maladies dégénératives qui se répand actuellement sur le monde.
La chimico-sensibilité en fait partie, un mal encore très méconnu, qui est né avec l’industrie, produit par elle. Reconnue aux USA, où elle atteint 15% de la population, elle est là pour tirer sur le signal d’alarme. En France, elle est passée sous silence, tandis que l’électro-sensibilité fait beaucoup parler d’elle. Et pourtant, elles sont étroitement liées, un électrosensible étant la plupart du temps un chimicosensible qui s’ignore.
La chimico-sensibilité se manifeste par divers troubles digestifs. Elle est la conséquence d’un désordre semé dans le système enzymatique, comme la prolifération du Candida Albicans, puis l’allergie à ce champignon perforateur de la paroi intestinale. Ce dysfonctionnement engendre alors une déminéralisation de l’organisme, qui elle-même engendre une chute ou une perturbation de l’immunité, pouvant entraîner jusqu’à la mort. Certains aliments comme le lait, le gluten ou autre… sont transformés en toxines et empoisonnent au lieu de nourrir, provoquant des vertiges et une baisse de la concentration. Et plus rien ne va dans un corps qui se débat avec l’absurdité. C’est la perte de sommeil, l’épuisement disproportionné avec l’activité que l’on a, la dépression, les allergies, les inflammations…
Dans la plupart des cas, un chimico-sensible est condamné à s’enfermer chez lui, sans pouvoir ouvrir ses fenêtres, car les produits ménagers, les lessives, les cosmétiques, les parfums, les encens et tout ce qui sort d’un flacon ou d’un pulvérisateur, sous forme liquide, poudreuse ou gazeuse… est source de souffrance dès la première inhalation. C’est donc synonyme de perte d’emploi et de précarité, car la chimie est partout, à toute heure de la journée. Et seul l’isolement protège la personne, car la médecine appuie toute sa stratégie sur l’usage de la chimie.
Je parle savamment de ce mal, parce que j’en souffre personnellement depuis quarante ans. Et si ma souffrance s’était limitée à la douleur physique provoquée par cette maladie, ma vie eut été encore bien douce, comparée à l’enfer que j’ai connu, à travers mon impossibilité de me faire respecter par mon entourage, quant à la crédibilité de mes plaintes. Encore aujourd’hui on me prend pour une fabulatrice, quand je ne dis que ce qui constitue mon absolue vérité. J’ai terriblement souffert d’exclusion et de mépris à cause de cette pathologie, qui a été déclenchée par la présence inopportune de mercure dans mon corps.
Pour en témoigner, j’ai écrit mon histoire sous une forme que j’ai voulue accessible à tout public, pour que l’information ne reste pas cloisonnée à la sphère scientifico-intellectuelle. Afin que la lecture de mon texte reste distrayante et fluide, j’ai inscrit celui-ci dans le cadre de ma vie amoureuse et professionnelle, afin de montrer comment mon problème de santé m’a contrainte à renoncer à tous mes projets, y compris celui de m’épanouir sexuellement, car le mercure déclenche aussi des douleurs dans cette zone-là. L’appareil reproducteur dans son ensemble, peut d’ailleurs être infesté par l’intoxication, qui se transmet par le placenta et peut provoquer des malformations du nourrisson.
L’intoxication mercurielle touche toutes les classes sociales et j’estime que tout le monde, y compris les médecins, a le droit de savoir que la médecine se trompe parfois. En effet, le mercure qui a semé la tempête dans ma vie était d’origine médicale, via les plombages et les vaccins. La preuve en est que j’ai échappé à la mort à l’âge de 32 ans, en faisant retirer mes amalgames dentaires et en effectuant une détoxication mercurielle.
Outre que le mercure peut tuer, il sème la névrose, par sa capacité à déclencher artificiellement des émotions. La lecture de mon témoignage vous fera découvrir, page après page, comment ce fut vrai pour moi. Le mercure, c’est par excellence, l’énergie de la destruction. Quand il est présent dans notre corps, il nous dicte des attitudes autoritaires et autodestructrices imparables, par sa propension à s’infiltrer dans notre cellule nerveuse. J’ai traversé ces états, dont je me suis délivrée par la détoxication, sans faire la moindre psychothérapie.
Mon témoignage est complété par une analyse documentée du processus d’intoxication chimique, qui m’a conduite à la conclusion que la plupart des maladies dégénératives en découlaient, tels l’autisme, l’Alzheimer, le cancer et autre… Et mon étude a été validée par deux scientifiques du plus haut niveau, le Professeur Picot, Directeur de Recherche au CNRS, et Michel Georget, Agrégé de sciences naturelles.
Article paru dans “Pluriel Nature” d’Octobre 2010
Sylvie Renault
Auteur-conférencière
Source: http://unlivreouvert.fr/.
Nota Bene: Le 7 Mars 2017, l’auteur, Sylvie Renault fait savoir que son livre“Si, ça se peut” est maintenant épuisé et qu’elle a un nouveau site et un nouveau livre: “Abus”.